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Son arrivée au PSG en avait laissé beaucoup sceptiques, mais Laurent Blanc a su se mettre (presque) tout le monde dans la poche.

L’homme à la touillette a su reprendre les choses en main l’année dernière en demandant notamment à Nasser de lui laisser plus de pouvoir. Tour d’horizon des différentes choses qui vont changer au PSG.

La concurrence au PSG : plus rude que jamais

L’an dernier, les sanctions du fair play financier avaient empêché le club de recruter, à part David Luiz. Cet été, c’est une autre histoire, et le recrutement de Kevin Trapp est un geste fort, symbolique, tant Sirigu a montré son attachement au club, est aimé des supporters et adoré de ses coéquipiers et, surtout, a fait de bons matchs depuis son arrivée. Le message est clair : nul n’est intouchable dans le 11, pas même le gardien, poste à part s’il en est. Avec di Maria, des joueurs installés l’an dernier comme Pastore ne sont pas assurés d’être titulaires à chaque match. Contrairement à l’an dernier (surtout face au Barça), où il avait fallu titulariser les Rabiot, Bahebeck & co … Chaque poste est doublé, voire triplé (comme le poste d’arrière droit) : chaque méforme, chaque blessure, chaque contre-performance verra un remplaçant émerger.

Un Cavani enfin décomplexé

Ce dernier a souvent boudé voire traîné son désespoir sur les terrains à cause de son positionnement, mais cela semble oublié. Son doublé contre Monaco en est la preuve, Cavani revient cette saison avec les meilleurs intentions, après avoir fini la dernière comme un boulet de canon. Laurent Blanc a très certainement trouvé les mots pour lui faire comprendre qu’il était meilleur lorsqu’il jouait avec Zlatan, même si cela l’oblige à redescendre défendre sur un côté. Avec les maîtres à jouer argentins qui vont l’entourer cette saison, El Matador n’en a pas fini de faire trembler les filets.

Un schéma tactique enfin amovible

Le 4/4/2 n’est plus tabou au PSG !

Et la deuxième moitié de saison dernière (avec notamment Pastore en 10), le confirme. Blanc ne cache d’ailleurs pas son envie de faire évoluer son schéma en cours de match, afin de surprendre l’adversaire qui s’attend bien souvent à l’inévitable 4/3/3. Avec un Zlatan de plus en plus blessé (hélas), nous reverrons très souvent El Flaco en meneur de jeu derrière les deux flèches. Il faut savoir que chaque top club européen sait s’adapter à deux voire trois schémas tactiques, alors nous comptons sur le coach parisien pour savoir faire bouger les lignes.

La Rédaction

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La Rédaction

Les Trois Mousquetaires de la presse internet.

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